Monsieur Robert ROYER

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Domicilié à Villers Lès Nancy (54600, France)
Né à Labry (54800, France) le lundi 1 février 1937
Décédé à Vandoeuvre lès Nancy (54500, France) le jeudi 3 janvier 2013 à l'âge de 75 ans

Espace condoléances 

Cet espace condoléances a été créé le vendredi 4 janvier 2013.

In memoriam

Cet espace « condoléances » est dédié à la mémoire de Monsieur Robert ROYER. Chacun peut s’y recueillir, déposer une carte de visite ou un message de condoléances. Utilisez les liens ci-dessous pour consulter les marques de sympathie ou intervenir vous-même. 
N’hésitez pas à renseigner cette page à vos connaissances. Ceux qui sont loin ou qui n’ont pas la possibilité de se joindre à la cérémonie trouveront ici une façon simple de montrer leurs sentiments à la famille dans ce moment difficile. 
Merci d’avance. 

15 messages (11 privés)
 
Condoléances 

Professeur de mathématiques au collège Monplaisir de 1991 à 2012, c'est votre père, frère, compagnon, membre de la famille, qui m'a acceuilli avec gentillesse et pédagogie lors de ma première rentrée et je lui en serai toujours reconnaissant..............Dans ces moments difficiles, mon épouse et moi, nous nous associons à votre grande peine et nous présentons à toute votre famille nos plus sincères condoléances.

FRANCIS FEDOR- 06-01-13

Condoléances 

Recevez nos condoléances les plus sincères et attristées.

jean pierre mangin- 06-01-13

Condoléances 

Roby a été avec Yves Anderlini mon voisin de box à l'Ecole Normale durant 3 ans. Au cours de cette période de jeunesse, j'ai pu apprécier sa vivacité d'esprit, son enthousiasme , sa bonne humeur.. et son humour. Bien qu'éloigné de lui depuis des décennies, sa disparition me touche beaucoup. Je présente à toute sa nombreuse famille mes condoléances attristées.

Denis lLORIENT- 05-01-13

Hommage 

Hommage à Roby.

Promotion 53-57 de l’École Normale de Nancy.
Voici presque 60 ans, au mois d’octobre, alors que je traversais l’école avec bagages et matériel de couchage, j’aperçus dans ce qui allait être notre salle de classe et d’études un groupe qui discutait et s’esclaffait et que j’avais bien envie de rejoindre. C’était le groupe du Pays Haut arrivé déjà depuis quelque temps.
Roby était de ce groupe.

Le hasard fit que la première année, son bureau était voisin du mien. Au second rang. L’année suivante j’arrivais plus tôt pour être à son côté, mais à l’avant-dernier rang.
Roby était un garçon vif et brillant. Il excellait autant dans les matières littéraires que scientifiques. Mais sa matière de prédilection fut et resta l’histoire.
En troisième année, nous étions également en classe de philo.

Je pense qu’à cette époque, c’est le garçon, ce petit mec trapu et noir de cheveux, dont je me sentis le plus proche, moi l’échalas d’une bonne tête de plus que lui.

J’admirais sa culture. J’enviais sa mémoire et ses capacités d’enregistrement. Mais ce que j’ai le plus apprécié, ce sont ses capacités d’action dans la plaisanterie, le chahut, la déconne.
C’est avec Roby que j’ai eu les altercations les plus violentes, mais c’est de lui que je me suis toujours senti le plus proche. Le même idéal laïque, la même envie de servir et de s’investir dans son travail au service des enfants et de la République.

Longtemps nos chemins se sont séparés. Quand nous nous sommes revus il y a une vingtaine d’années alors qu’il était principal à Raon l’Étape, certes, il avait quelque peu forci, mais Roby était resté le même, toujours prêt à la plaisanterie et à tourner les petits problèmes du quotidien en dérision, mais ferme sur les principes et attentif à l’autre.

Roby était pour moi un roc. Un intellectuel et un manuel indestructible.
Et tu nous lâches, Roby.
Tu ne seras plus présent physiquement, mais tu ne me quitteras pas. Tu seras toujours présent dans mon esprit, tu auras toujours toute ta place dans mes pensées.

Mes pensées vont aussi à tes enfants que je ne connais pas, mais dont j’ai plus d’une fois entendu parler, à tes petits enfants et à ta compagne, Marie Odile.

Ton vieux camarade Zaaf

guy charoy- 05-01-13