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condoléances attristées de la part d'une motarde! que tu reposes au paradis des motards!
Cheyenne DEMANGEON- 31-05-11
La vie s'écoule, le temps passe mais jamais les souvenirs ne s'effacent.Tous ces bons moments passés ensemble, les folles équipées en moto, la virée au GP de France en avril 76, je me suis toujours demandé comment nous avons pu revenir entier de ce périple, je t'avais emmené en passager et tu t'endormais, je t'avais sanglé à l'arceau de la moto, je te tapais sur les genoux pour te réveiller à chaque fois que je te sentais glisser du siège, mais nous sommes revenus fatigués, vidés et pleins de souvenirs dans la tête. Quelques temps après, je me suis mangé un camion, tu étais le premier à arriver sur les lieux, je me rappelle encore t'avoir crié alors que j'étais sous le camion " la moto, elle a rien?". Maintenant, tu es parti, je n'oublierai jamais ta spontanéité, ta gentillesse et ta simplicité et je te dédie ce refrain de la chanson d'Enrico Macias :On se connaît par hasard et comme on se ressembleOn s'invite le dimanche ou bien l'on sort ensembleOn est content de se réunirEt quand vient l'heure ou l'on doit partirOn fait encore durer le plaisir en chantantOn ne va pas se quitter comme çaAprès une journée comme çaPour une fois que l'on est heureuxAmusons-nous encore un peuOn ne va pas se quitter comme çaAprès une journée comme çaOn est bien et l'on ne sait pasQuand on se reverraSalut mon pote, tu vas me manquer. Si tu vois Jojo et les autres, donnes leurs le bonjour, peut-être qu'un jour on se reverra.Alain
Alain Fagnone- 02-04-11
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